L'heure n'est ni aux pleurs ni aux lamentations.
C'est juste que... Vous allez me (nous ?) manquer.
Je n'ai pas l'habitude de m'attarder sur ce genre de questions cucununuches, mais je vous avouerai que, sans vous, très chers 2A, cette année à Menton aurait été tout autre.
En tout cas, en vous envolant vers de nouveaux cieux, tâchez de ne pas nous oublier de votre côté !
Bon courage à vous tous, je vous embrasse,
Sarah.